Le brin de menthe à la main, je m’aventure dans cette mosaïque odorante. Il ne m’aidera guère à calfeutrer mes narines et d’ailleurs, comme souvent devant des scènes incroyables, j’en oublie les conditions et les sensations corporelles.
Le brin de menthe à la main, je m’aventure dans cette mosaïque odorante. Il ne m’aidera guère à calfeutrer mes narines et d’ailleurs, comme souvent devant des scènes incroyables, j’en oublie les conditions et les sensations corporelles.
Voici de nos nouvelles du Grand Nord, suivies de quelques réflexions et pensées de la situation actuelle.
Bon courage à vous tous et un énorme merci à toutes les personnes qui oeuvrent chaque jours pour sauver des vies et continuer à faire avancer notre société.
Céline
Nous sommes actuellement en Laponie, en pleine saison d’hiver. Ce pays sera peut-être notre pays d’accueil pour les prochains mois à venir, en tout cas les prochaines semaines.
Voici enfin l’image très attendue par certains d’entres-vous pour ce 7e atelier d’écriture.
Ceux qui me suivent reconnaitrons peut-être l’endroit et le contexte dans lequel elle a été prise, mais je suis sûre que votre imagination saura dépasser ces limitations géographiques et techniques 😉.
J’ai eu le plaisir d’être sollicitée par Nikon pour réaliser des photographies dans le cadre de la campagne publicitaire de leur nouvel objectif, annoncé il y a quelques jours.
Désert, environnement fascinant, envoutant et déconcertant à la fois. Il nous connecte à une autre dimension, à l’inconnu, au silence, au vide et nous renvoie vers la simplicité d’une présence qui se façonne au gré des vents.
Le désert attire par sa puissance, il a cette force de nous recentrer, de nous faire prendre conscience de notre petitesse sur cette terre et en même temps de notre contribution à ce tout.
L’écriture de Marie-Madeleine Davy dans son livre « Le désert intérieur » est une réflexion autour de ce mot qui symbolise le lieu géographique et en même temps la quête du vide intérieur afin qu’une métamorphose puisse opérer.
La couleur que Céline retiendra de son voyage au Maroc ? Le sable ! Sable-ocre jaune pour cette poussière omniprésente qui semble être montée du sol pour construire les maisons et les villages, aussi parfaitement intégrés dans le paysage que les habitants dans leurs amples robes, pour la plupart couleur sable-beige ou sable -terre d’ombre brûlée. Mimétisme des demeures et de ceux qui y vivent, pour et par la terre, leur vie est en symbiose parfaite avec l’environnement, écologique par force et par évidence.
« Je veux vivre ! »
Ces trois mots que tu prononçais Papa, il y a moins de 2 semaines, résument à eux seuls qui tu étais.
Bonjour à tous,
voici le sixième volet de l’atelier d’écriture avec une nouvelle image et un texte de Juliette Derimay.
Ça vous tente?
« Douceur pour l’Esprit » c’est une nouvelle rubrique associant parole et image.
J’ai le plaisir de vous informer que mon livre « Les secrets de la photo de voyage » aux éditions Eyrolles Photo est désormais disponible en italien chez l’Editeur Il Castello Editore.