Et si nous commencions cette semaine avec une histoire pleine de joie ?
Sam et moi sommes très heureux aujourd’hui de pouvoir vous présenter enfin cette vidéo « MADANI, l’homme qui reverdit le désert », fruit d’une chaleureuse rencontre et suivi d’un passionnant travail de montage.
De retour de notre voyage au Maroc depuis peu, nous sommes dorénavant dans la phase de postproduction. Ces trois derniers mois ont été très denses, et notre présence sur la toile a été discrète, étant très focalisés sur les deux sujets vidéo réalisés sur place, en plus de nos divers travaux photographiques.
Je n’ai pas résisté. Je suis retournée dans mon dossier d’images de Chefchaouen, prises en 2019. Et je réalise que je ne les avais pas encore publiées.
S comme Sarlat ou comme Silencieuse … ou même Sous la pluie !
Voilà ce qui m’a plu lors de mes déambulations dans cette petite ville médiévale, qui, il y a quelques semaines encore, était inondée de voyageurs en route, de visiteurs amoureux d’histoire, de curieux gourmands, et de badauds, pas tous aussi immobiles que celui de bronze qui domine la place de la Liberté, icône de la ville.
Je continue sur ma lancée avec les îles Canaries et cette nouvelle série de notre road trip avec Sam et Scoubi (notre petit camion aménagé) au printemps 2021.
Face à face entre Fuerteventure et Gran Canaria.
Pour faire suite à mon dernier article “Venise a posé le décor”, je vous propose une nouvelle interprétation de Venise, en sépia cette fois-ci.
Lorsque je m’apprête à visiter un site très fréquenté et surtout très photographié, mon esprit commence à imaginer une autre manière d’aborder le sujet. La vision du travail que je ferai m’a instantanément traversé. Je vais peindre Venise avec mon appareil photo.