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Celine
20 février 2021 20 h 01 min
J’y ai bien sûr déjà pensé 😉. Mais j’attends d’en trouver un plus traditionnel!
Oui je confirme Pascal, l’Équateur est un beau pays d’accueil en ces temps-ci.
Je sors de la moiteur de l’Amazonie avant d’y retourner à nouveau. La reconnexion à la Terre Mère, la Pachamama est une découverte qui me bouleverse. Une beauté originelle qui ouvre le cœur et ne peut laisser indifférent. L’appel de la forêt est grand …
À bientôt.
Ouh là, j’ai du mal à suivre l’éternelle globe trotter. Donc tu es là bas ?
Le frère de mon filleul a aussi choisi l’Equateur pour se détendre car c’est le pays le plus accessible en cette période pandémique.
J’aime beaucoup les photos 7 et 9. Celles-là me touchent. Les plus fortes de mon point de vue, car ce sont celles où l’humanité et l”intériorité dialoguent le plus avec les personnages très expressifs de la fresque.
Bonne route camarade 🙂
Brigitte Raballand
8 février 2021 18 h 35 min
Céline, pour commencer : merci ! Merci pour ton regard que tu nous partages simplement, merci pour ta sensibilité. Des images fortes et tout en pudeur. L’ordre dans lequel tu les présentes n’est pas anodin.
On commence sans masque sur la fresque, par une grande inspiration, profonde, libre, avec un visage comme offert à la vie, devant l’indifférente totale des passants masqués et uniquement tournés vers leur smartphone. Il n’y a que la petite, sur le dos de sa mère, qui regarde “la femme du mur”. Elle n’est pas encore obnubilée par les techniques modernes. peut-être trouve-t-elle étrange ce visage non masqué.
La troisième me dit la menace (anxiogène) qui pèse sur l’humanité, comme si ce personnage mural nous poussait tous vers un à venir sans repère et sans joie, maladie, relations qui s’estompent, contacts refusés, méfiance..
La quatrième photo est très puissante par le placement des personnages, l’une comme prisonnière de la main de gauche fermement posée sur ses épaules, l’autre dans le bras de l’homme en blanc, masqué bras qui peut l’enserrer à tout instant.
La cinquième, les sièges vides et ce regard si lourd d’incompréhension et de tristesse.
La sixième : que dit le regard de la femme adossée au mur. Est-il reproche pour les “non masquées ou mal masquées” ? Est-il envie ?
La septième : tristesse, détresse. et résignation de la passante.
La huitième : et pourtant la vie est là, qui continue. Nous ne devons pas l’oublier.
La dernière : le masque de la marchande qui lui dessine des lunettes, comme en écho à la soignante. Les deux proposent des “petites doses de vie”, nourriture ou oxygène. J’aime beaucoup le paysage, les végétaux, le soleil, l’eau, la montagne dessinés dans le ballon que la main va presser pour permettre à la vie de continuer.
Bien sur, ce n’est que ma lecture. Il y a à voir dans tes photos, Céline et surtout de quoi émouvoir !
Un grand merci à toi Brigitte pour avoir posé les mots justes sur ces images. J’en suis vraiment très touchées.
C’est toujours très intéressant d’avoir une analyse extérieure des images ainsi que des ressentis. Parfois, ce n’est que plus tard que je découvre moi-même des détails …
“Parfois, ce n’est que plus tard que je découvre moi-même des détails …” Oui, on peut effectivement découvrir, lire, des détails plus tard ; pourtant tu as choisi tes cadrages et très certainement le moment du déclenchement. Donc tout était déjà en place, analysé, même si non formulé. Et c’est à travers les mots que posent les autres sur nos propres photos que nous les redécouvrons. Merci pour tous ces partages, Céline.
Merci beaucoup Sylvie, j’ai aimé cette circulation de passants et ce mouvement qui contraste avec certaines peintures figées. D’autres nous emportent ans le flux.
Histoire sans parole, mais des images parlantes, vie, couleurs, attente, message passé par ces fresques, résignation, souffrances, désoeuvrement… des sourires qui manquent derrière ces masques qui protègent mais aussi qui mettent de la distance et cachent les émotions. Merci pour ce voyage que nous n’aurions pas fait autrement que par ton partage, lien précieux entre deux mondes.
Antoine, tu trouves les mots justes pour accompagner ces images. Merci 🙏.
Les habitants ici ont les yeux qui sourient naturellement … l’échange est agréable.
J’y ai bien sûr déjà pensé 😉. Mais j’attends d’en trouver un plus traditionnel!
Dans la moiteur de l’Amazonie :-))))
Oui je confirme Pascal, l’Équateur est un beau pays d’accueil en ces temps-ci.
Je sors de la moiteur de l’Amazonie avant d’y retourner à nouveau. La reconnexion à la Terre Mère, la Pachamama est une découverte qui me bouleverse. Une beauté originelle qui ouvre le cœur et ne peut laisser indifférent. L’appel de la forêt est grand …
À bientôt.
Et sûrement tu trouveras un coiffeur 🙂
Ouh là, j’ai du mal à suivre l’éternelle globe trotter. Donc tu es là bas ?
Le frère de mon filleul a aussi choisi l’Equateur pour se détendre car c’est le pays le plus accessible en cette période pandémique.
J’aime beaucoup les photos 7 et 9. Celles-là me touchent. Les plus fortes de mon point de vue, car ce sont celles où l’humanité et l”intériorité dialoguent le plus avec les personnages très expressifs de la fresque.
Bonne route camarade 🙂
Céline, pour commencer : merci ! Merci pour ton regard que tu nous partages simplement, merci pour ta sensibilité. Des images fortes et tout en pudeur. L’ordre dans lequel tu les présentes n’est pas anodin.
On commence sans masque sur la fresque, par une grande inspiration, profonde, libre, avec un visage comme offert à la vie, devant l’indifférente totale des passants masqués et uniquement tournés vers leur smartphone. Il n’y a que la petite, sur le dos de sa mère, qui regarde “la femme du mur”. Elle n’est pas encore obnubilée par les techniques modernes. peut-être trouve-t-elle étrange ce visage non masqué.
La troisième me dit la menace (anxiogène) qui pèse sur l’humanité, comme si ce personnage mural nous poussait tous vers un à venir sans repère et sans joie, maladie, relations qui s’estompent, contacts refusés, méfiance..
La quatrième photo est très puissante par le placement des personnages, l’une comme prisonnière de la main de gauche fermement posée sur ses épaules, l’autre dans le bras de l’homme en blanc, masqué bras qui peut l’enserrer à tout instant.
La cinquième, les sièges vides et ce regard si lourd d’incompréhension et de tristesse.
La sixième : que dit le regard de la femme adossée au mur. Est-il reproche pour les “non masquées ou mal masquées” ? Est-il envie ?
La septième : tristesse, détresse. et résignation de la passante.
La huitième : et pourtant la vie est là, qui continue. Nous ne devons pas l’oublier.
La dernière : le masque de la marchande qui lui dessine des lunettes, comme en écho à la soignante. Les deux proposent des “petites doses de vie”, nourriture ou oxygène. J’aime beaucoup le paysage, les végétaux, le soleil, l’eau, la montagne dessinés dans le ballon que la main va presser pour permettre à la vie de continuer.
Bien sur, ce n’est que ma lecture. Il y a à voir dans tes photos, Céline et surtout de quoi émouvoir !
Un grand merci à toi Brigitte pour avoir posé les mots justes sur ces images. J’en suis vraiment très touchées.
C’est toujours très intéressant d’avoir une analyse extérieure des images ainsi que des ressentis. Parfois, ce n’est que plus tard que je découvre moi-même des détails …
“Parfois, ce n’est que plus tard que je découvre moi-même des détails …” Oui, on peut effectivement découvrir, lire, des détails plus tard ; pourtant tu as choisi tes cadrages et très certainement le moment du déclenchement. Donc tout était déjà en place, analysé, même si non formulé. Et c’est à travers les mots que posent les autres sur nos propres photos que nous les redécouvrons. Merci pour tous ces partages, Céline.
Les fresques parlantes sont magnifiques !!!
Merci Marianne :).
Excellent travail ! les fresques sont superbes et participent à la dynamique de ces passants
Merci beaucoup Sylvie, j’ai aimé cette circulation de passants et ce mouvement qui contraste avec certaines peintures figées. D’autres nous emportent ans le flux.
Histoire sans parole, mais des images parlantes, vie, couleurs, attente, message passé par ces fresques, résignation, souffrances, désoeuvrement… des sourires qui manquent derrière ces masques qui protègent mais aussi qui mettent de la distance et cachent les émotions. Merci pour ce voyage que nous n’aurions pas fait autrement que par ton partage, lien précieux entre deux mondes.
Antoine, tu trouves les mots justes pour accompagner ces images. Merci 🙏.
Les habitants ici ont les yeux qui sourient naturellement … l’échange est agréable.